Un tandem père-fille
Jelena Simeunović et son père Ranko Vojnović ont travaillé pour Schindler Berne pendant pratiquement toute leur vie professionnelle.
La carrière de Jelena Simeunović était déjà toute tracée à sa naissance. Sur le faire-part de sa naissance, on pouvait déjà voir un ascenseur dessiné à la main. «Je suis arrivée », était-il écrit sous un bébé souriant, assis dans un ascenseur Schindler. La jeune femme de 34 ans avait déjà effectué son apprentissage commercial dans l’entreprise et a depuis lors consacré toute sa vie professionnelle à Schindler. Cette vaste expérience lui confère une grande valeur aux yeux de ses collègues. De plus, Jelena met en avant l’esprit d’équipe qui l’anime: «Ici, nous travaillons ensemble comme dans une grande famille.»
40 ans comme monteur et technician de service
La famille est donc le mot clé: le faire-part de naissance rose n’était évidemment pas un hasard, mais l’œuvre de son père, Ranko Vojnović. Il travaille chez Schindler depuis son plus jeune âge. L’année prochaine, cela fera 40 ans. Ranko Vojnović a commencé par le montage de nouvelles installations. Au bout de 20 ans, il est passé au service, où il travaille encore aujourd’hui. Il s’occupe de dizaines d’ascenseurs qu’il a lui-même installés lorsqu’il était jeune monteur.
Chez Schindler, l’estime est au rendez-vous
Ranko Vojnović apprécie le degré élevé d’autonomie que lui offre son poste. Tout comme sa fille, il apprécie le climat de travail familial chez Schindler. Tous deux se réjouissent de la grande estime que leurs collègues leur témoignent.
Voilà les raisons pour lesquelles Jelena se plaît toujours autant chez Schindler, même après 18 ans. À cela s’ajoute la confiance qu’elle a acquise au fil des ans. «Je suis heureuse que mon expérience me permette de soutenir régulièrement mes collègues», explique-t-elle. «Certes, je ne sais pas tout non plus. Mais grâce à mon bon réseau, je trouve généralement quelqu’un qui connaît la réponse adéquate», dit-elle en riant.
Un départ plutôt difficile
Qu’elle se plaise ici aussi longtemps n’était cependant pas gagné d’avance. Elle se souvient de ses débuts en apprentissage comme étant plutôt difficiles. Son équipe et sa famille l’ont soutenue dans ces moments difficiles. Cela a aussi été le cas pour son père: «J’ai toujours eu de bons collègues et de bons supérieurs chez Schindler», souligne Ranko Vojnović.
L’année prochaine, RankoVojnović atteindra l’âge de la retraite. Il ne craint toutefois pas de s’ennuyer en tant que retraité. Il aime passer du temps en famille. Et puis, il s’imagine aussi continuer à travailler un peu à temps partiel au-delà de l’âge de la retraite. Il y aura sans doute encore quelques entraînements de porte à moderniser. Et si jamais il ne s’en sort pas, il sait à qui demander.